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Recherche d'ID

~ Carnet de recherche des étudiants du master en sciences de l'information de la Haute école de gestion de Genève

Recherche d'ID

Archives de Catégorie: Outils

Article concernant un outil utilisé dans le cadre du projet de recherche (ex. Zotero, Gantt project, Skype, etc.).

La création d’une méthode d’évaluation innovante pour définir la qualité des plateformes de veille

26 mardi Déc 2017

Posted by florianeminana in Actualités, Méthodologie, Outils, projet de recherche, Quantitatif

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évaluation, innovation, méthode d'évaluation, plateforme de veille, projet de recherche, veille

De nombreuses publications permettent de comparer les plateformes de veille selon les fonctionnalités proposées, mais jamais au regard des résultats qu’elles renvoient.
Notre projet de recherche se veut donc innovant, car nous avons pour objectif d’évaluer la qualité de la veille des plateformes Digimind, Sindup et MyTwip par l’intermédiaire des résultats retournés.

Notre étude doit nous permettre de répondre aux 2 questions de recherche ci-dessous :

  • Quelle méthode et quels indicateurs permettent d’évaluer la qualité des plateformes de veille sur la base des résultats retournés ?
  • Quelle est la plateforme la plus performante au regard de cette évaluation ?

Notre méthodologie

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Le stockage et le partage des données pendant la phase active de la recherche : les solutions suisses

22 vendredi Déc 2017

Posted by valph in Actualités, Outils, projet de recherche

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Andrew Treloar, cloud, Data Continuum, partage, Research Data Management, services, stockage, SWITCH, travail collaboratif

Dans notre précédent billet de blog, nous abordions la question de l’hébergement des données de la recherche pendant la phase de leur gestion active. Tandis que, dans la pratique, l’utilisation de solutions de stockage et de partage telles que Dropbox ou GoogleDrive est courante, nous avons mis en évidence que du point de vue de la protection des données, ces options ne sont pas optimales. Nous présentons dans ce billet les possibilités qui s’offrent aux chercheurs suisses en matière de stockage de données et d’outils de travail collaboratif.  Lire la suite →

Management : comment s’adapter à son équipe ?

13 vendredi Juin 2014

Posted by accepterara in Outils

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autonomie, emploi, entretien d'embauche, management, prise de fonction

Introduction

Nous avons reçu le 16 avril Mme Marie Fuselier, directrice de la Division de l’information scientifique à l’Université de Genève, et Mme Michèle Furer-Benedetti, son adjointe scientifique, venues nous donner un cours sur la prise de fonction d’un poste de manager. Cette journée, riche en enseignements, nous a permis de démystifier le rôle de manager, et de nous confronter à une réalité proche de celle qui nous attend – espérons-le – à la fin de notre master. Le cours, abondamment fourni en ressources théoriques sur la prise de fonction, était illustré  par diverses expériences professionnelles des deux intervenantes. Dans ce billet, nous commentons un schéma qui a été présenté lors de cette journée et qui définit le rôle du manager en fonction du niveau d’autonomie de l’équipe :

Style_de_management_et_autonomie_de_l'équipe
Issu du livre de Durand (2003), qui constitue une excellente synthèse sur les enjeux liés à une prise de fonction d’un manager, ce diagramme pose la question des différents types de managers et des actions qui y sont liées.

1. Quel style de manager ?

Le terme de manager peut paraître ambigu car il englobe plusieurs styles de management. Il existe de nombreux articles dénombrant ces différents styles : certains auteurs estiment qu’il existe 4 types de management : http://www.cimi.fr/index.php?option=com_quickfaq&view=items&cid=4:management-operationnel&id=18:quelles-sont-les-quatre-styles-de-management-, d’autres 5 : http://lentreprise.lexpress.fr/rh-management/management-les-cinq-tendances-de-2014_1521327.html, d’autres encore en comptabilisent 24 différents dans le monde : http://www.cadreo.com/actualites/dt-les-24-styles-de-management-dans-le-monde.
La forme qui vient directement en tête est celui du manager directif qui mène son équipe à la baguette. Son rôle est de planifier le travail et de contrôler sa réalisation. Comme le montre cette vidéo, https://www.youtube.com/watch?v=NFXWMb6ZcDI,  un tel management laisse peu de place à l’initiative personnelle, l’accent étant mis sur la réalisation d’objectifs chiffrés.
A lire la nombreuse littérature sur le sujet, l’on a le sentiment

  1. que le style de management est fortement lié à la personnalité du manager ;
  2. qu’il est fixé une fois pour toutes et n’évolue pas.

La force du schéma présenté ici est d’envisager la question sous un autre angle, à savoir l’adaptation du manager au degré d’autonomie de l’équipe qu’il dirige. Ainsi, il s’adapte à l’évolution de son équipe et à l’environnement dans lequel tous évoluent.

2. Prendre ses fonctions dans un poste de manager

2.1. L’annonce d’emploi

Comment savoir, quand on postule pour un poste, quel sera le type de management attendu par son futur employeur ? Comment déterminer, à la lecture des annonces d’emploi, si le poste s’accorde à l’idée que nous nous faisons de la direction d’une équipe ? Une piste de réponse se trouve dans les verbes utilisés. Si on les confronte avec la colonne de droite du schéma, le type de manager souhaité devient souvent assez évident. Avant de déposer sa candidature, la personne intéressée devra donc se poser la question suivante : le genre de management demandé convient-il à sa personnalité et à ses attentes ?

2.2. Les entretiens

Lors des entretiens, le candidat fait en principe la rencontre de celui qui sera son supérieur direct, son n+1. Il s’agira alors de préciser quel style de management est attendu de lui et la manière de fonctionner de l’équipe dont il aura la charge. S’appuyer sur une matrice telle que la propose le diagramme ci-dessus aide à analyser les informations reçues et à poser des questions pertinentes. Trois niveaux d’autonomie et donc trois styles de management sont définis, mais dans la réalité, ceux-ci ne se présentent que rarement de manière pure. A travers cette grille, il sera toutefois possible de percevoir une tendance.
Rappelons que les entretiens vont dans les deux sens et qu’il ne s’agit pas forcément de se faire engager à tout prix. Idéalement, les deux parties devraient collaborer pour déterminer si réellement le poste proposé correspond à la fois aux compétences et aux attentes du candidat. Ce diagramme aide le candidat à se positionner par rapport à ses futures fonctions et à prendre ensuite une décision éclairée s’il est retenu pour ce poste.

2.3. Les premiers jours : écouter son équipe

Voilà, c’est fait ! Le candidat a été choisi. Dans les premiers jours, il doit surtout être à l’écoute de son équipe. A travers le processus de recrutement, il a déjà reçu beaucoup d’informations et a pu se positionner par rapport au type de management à exercer.
A travers des entretiens avec les personnes qui dépendront directement de lui, il pourra analyser leurs attentes et s’adapter ensuite en fonction des individus, et du contexte du projet. Ce diagramme peut ici l’aider à comprendre de manière plus fine le fonctionnement de son équipe, ses besoins et les catégories d’action les plus appropriées.

2.4. Etablir son diagnostic, décider du style à adopter

Au terme de cette période de prise de contact, le manager fraîchement engagé a pu se faire une première idée du fonctionnement des membres de son équipe, de leurs forces et de leurs faiblesses, et ainsi identifier le style de management le plus adéquat. Il est possible que cela ne corresponde pas à ce que laissait pressentir l’annonce ou l’entretien avec son propre supérieur hiérarchique. Dans ce cas, le manager identifiera les éventuelles compétences qui lui manque par rapport au type de management concerné, de manière à en faire l’acquisition s’il est décidé à relever le défi.

3. Limites du schéma

Ce schéma nous paraît être un outil très utile à la préparation de prise de fonction de management. Il permet d’aborder un certain nombre d’informations de manière synthétique et de se positionner par rapport à un aspect de son futur travail.
Toutefois, comme tout schéma, il présente quelques limites.
Tout d’abord, il donne une impression de fixation sur une des options présentées. Or, l’adoption d’un style de management n’est pas quelque chose de figé dans le marbre. C’est au contraire un processus itératif qui dépendra de la personnalité du manager et de ses collaborateurs, de la dynamique de l’équipe et de l’environnement dans lequel elle évolue. Par exemple, des modifications dans l’environnement de travail ou l’arrivée d’un nouveau collaborateur sont susceptibles de changer le fonctionnement de l’équipe et par là-même le style de management adéquat. De plus, le manager lui-même peut faire évoluer ses collaborateurs, par exemple vers plus d’autonomie.

4. Conclusion

Bien sûr, la réalité n’entre pas en totalité dans des cases. Les situations pures n’existent pas, mais ce schéma permet de relever des tendances dominantes relatives à une situation donnée. Ce modèle présente donc plutôt trois pôles de situations, entre lesquelles on trouve toutes les possibilités intermédiaires. Au final, ce tableau est un excellent instrument de préparation et de conceptualisation, utile au moment de la prise de fonction d’un manager aussi bien que lors de changements dans l’équipe ou dans l’environnement.

5. Bibliographie

DURAND, Gilles, (2003). Prendre une fonction de manager. Paris : INSEP Consulting. ISBN 978-2914006347

Laurence Gauvin, Valérie Meystre et Raphaël Rey

Ce qu’un spécialiste en information documentaire de niveau master aurait pu apporter au projet Lumières.Lausanne

12 jeudi Juin 2014

Posted by angeliquejoye in Gestion de projet, Manifestation, Outils, Valorisation

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architecture de l'information, archivage, compétences, compétences documentaires, gestion de projet, humanités numériques, marketing digital, master ID, pérennisation, professionnel ID, spécialiste en information documentaire, web design

 

La journée de séminaire sur les humanités numériques organisée par la filière information documentaire de la HEG a été marquée par les présentations de nombreux projets transdisciplinaires. Parmi eux figurait le projet Lumières.Lausanne de l’Université de Lausanne, présenté par Mme Béatrice Lovis doctorante en histoire et membre de l’équipe en charge du projet. Dirigé par Béla Kapossy, François Rosset et Danièle Tosato-Rigo, Lumières.Lausanne est une plateforme ouverte au public mettant à disposition de nombreuses transcriptions de littérature secondaire, fiches biographiques et autres sources provenant du pays de Vaud et datant de l’époque des Lumières. Rattaché au Centre des sciences historiques de la culture, Lumières.Lausanne a été développé dans le cadre d’un projet plus vaste, également appelé Lumières.Lausanne, qui organise des colloques et des conférences sur le pays de Vaud au XVIIIe siècle. Il aura fallu cinq années de travail à l’équipe du projet pour dévoiler le produit final qui s’apparente de prime abord à une base de données ordinaire, mais qui est en réalité un outil beaucoup plus versatile, puisqu’il est également utilisé pour l’enseignement académique. En effet, les transcriptions mises en ligne sont réalisées par les assistants et professeurs, mais également par les étudiants dans le cadre d’exercices et corrigés avant leur publication. La plateforme est également utilisée pour mettre en lumière certains textes et ainsi valoriser le fonds.

Lors de sa présentation, Mme Lovis a mis en avant tous les atouts de cette plateforme et toutes les richesses qu’elle a permis d’exploiter. Elle a cependant également mentionné les nombreuses difficultés rencontrées (des subventions venant au compte-goutte, plusieurs phases d’égarement ayant mené à des changements de direction etc.), ainsi que les limites de l’outil produit, dont elle a parfaitement conscience. En écoutant sa présentation, nous ne pensons pas nous tromper en disant qu’un bon nombre d’entre nous, étudiant(e)s master ID, avons adopté une attitude critique en apprenant comment s’était déroulé ce projet. A la fin de la présentation de Mme Lovis, la question «Si vous pouviez retourner en arrière, qu’auriez-vous fait différemment ?» a été posée. Mme Lovis a répondu qu’elle aurait engagé directement un informaticien pour ce projet.

Suite à cette présentation, nous avons réfléchi à ce qui aurait pu être fait pour éviter un bon nombre de difficultés rencontrées, et nous nous sommes rendues compte que ce projet aurait effectivement nécessité un informaticien attitré, mais également un spécialiste en information documentaire de niveau master. En effet, nous avons réalisé que de nombreuses compétences acquises pendant ces deux ans de formation se seraient révélées fort utiles dans le cadre de ce projet.

A commencer par les compétences de gestion de projet. En effet, ce qui nous a frappé pendant cette présentation, était que la méthode et les objectifs pour ce projet, ainsi que les rôles et les responsabilités de chacun, ne semblaient pas avoir été définis clairement au départ. Mme Lovis a expliqué que l’outil élaboré avait été utilisé à différentes fins avant de trouver son utilité finale et que la démarche adoptée avait été empirique. Si le projet avait été clairement défini cela aurait permis d’éviter ces phases d’errances et résulté en un gain de temps et donc d’argent pour ce projet. A partir de là, un budget et un planning détaillés auraient pu être élaborés et une recherche de fonds additionnels aurait pu être menée pour obtenir la totalité du montant nécessaire, ce qui aurait permis de diminuer la durée et le coût du projet de manière globale. Enfin, en menant une réflexion aboutie sur le projet, les questions de pérennisation, qui sont à nos yeux essentielles, auraient dû être abordées, des solutions auraient dû être élaborées et prises en compte dans le budget afin d’assurer le futur de la plateforme. Globalement, un spécialiste ID aurait pu conseiller l’équipe pour la gestion du projet avant, pendant et après, tout en apportant d’autres compétences.

Outre des compétences en gestion de projet, un spécialiste ID aurait bien entendu aussi apporté son expertise documentaire. Ces compétences documentaires auraient été très utiles pour plusieurs aspects du projet. Tout d’abord, le spécialiste ID aurait pu être de bon conseil pour déterminer le choix de la base de données en fonction de besoins clairement définis en collaboration avec les chercheurs. Une fois ce choix effectué, il aurait été la personne de référence pour déterminer les champs de métadonnées, les organiser de manière logique, pratique et ergonomique, et les paramétrer sur la base des nombreuses expériences déjà acquises dans le domaine par les archivistes et bibliothécaires de tous bords. Le spécialiste aurait entre autres pu prévoir les problèmes de doublons dans les métadonnées. Toutes les tâches de catalogage et d’indexation auraient entre autres pu être confiées à un spécialiste ID (en l’occurrence de niveau Bachelor), ce qui aurait permis aux chercheurs de se concentrer sur leur propre cœur de métier, à savoir la transcription et la recherche. Grâce à ses compétences documentaires, le spécialiste ID se serait enfin aussi posé dès le début la question de l’archivage et de la pérennisation à long terme de la base de données. De même, il aurait mené une réflexion quant à l’évolution des outils informatiques pour assurer l’utilisabilité sur la durée des données contenues dans la base.

De plus, les compétences documentaires de base sont complétées chez le titulaire d’un master ID par des compétences en architecture de l’information et en Web design. Grâce à cela, la plateforme aurait directement pu être pensée et optimisée pour l’usager et avec l’usager. Ses connaissances auraient aussi pu faciliter et accélérer les collaborations avec l’informaticien et le webdesigner grâce à une conscience accrue des besoins. Il va sans dire que cela aurait probablement permis de gagner du temps et de l’argent. Après chaque étape, des tests utilisateurs auraient été prévus afin de s’assurer de la qualité du résultat et de son optimisation. Ainsi, les questions d’usabilité et d’interface auraient pu être pensées dès le début du projet, et tout au long de sa création. Cela aurait permis d’éviter une réorganisation extrêmement coûteuse de la plateforme.

Enfin, le titulaire d’un master en information documentaire a une conscience accrue des questions de marketing et de communication digitale. Un certain degré de compétences dans ces domaines aurait permis une meilleure mise en valeur de la base de données sur internet (notamment via une optimisation de celle-ci pour les outils de recherches) et éventuellement sur les réseaux sociaux. Une telle mise en valeur aurait permis de valoriser le projet auprès du public cible et de le légitimer aux yeux des décideurs et des politiques.

Il ressort de cette réflexion que, si un certain nombre de tâches avaient été confiées à un professionnel ID, la chercheuse responsable du projet aurait pu se consacrer presque entièrement à son cœur de métier, soit les transcriptions, les corrections et la recherche. De ce fait, la base de données serait à ce jour déjà beaucoup plus riche qu’elle ne l’est. De plus, il semble qu’une réflexion au niveau de la gestion de projet aurait apporté une gestion beaucoup plus efficace et efficiente des ressources. Une vision du projet à long terme aurait aussi permis de prévoir des ressources en vue de l’entretien et de la pérennisation de la base de données.

Cette réflexion autour du projet Lumières.Lausanne nous a permis de faire un tour d’horizon de toutes les précieuses compétences que nous avons acquises lors de notre master en information documentaire. A nous maintenant de communiquer à leur sujet et de les mettre en valeur pour qu’elles soient reconnues à leur juste valeur dans les milieux professionnels !

Hoang-Mai Diep et Angélique Joye

Avez-vous votre carte de bibliothèques ?

27 jeudi Fév 2014

Posted by Stéphanie Pouchot in Outils

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bibliothèques, Carte

L’un des projets de recherche 2013-2014 en Master ID concernait le prêt de dispositifs mobiles de lecture dans les bibliothèques suisses. Ce travail a abouti, entre autres, à la création d’une carte des établissements concernés.

carte_adresses_biblios_dispos_quest300dpi

Ce type de visualisation est semble-t-il d’actualité puisque l’ABF (association des bibliothécaires de France) vient de lancer la constitution d’une carte interactive ayant pour but, à terme, de recenser les bibliothèques du monde entier (information relayée par ActuaLitté).

Mais… qui prête des liseuses ou des tablettes ?

29 vendredi Nov 2013

Posted by dispomobiles in Méthodologie, Outils

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bibliothèque, Carte, dispositifs de lecture numérique, liseuses, Suisse, tablettes

Nous avions le projet de créer une carte en ligne qui mette en évidence les bibliothèques prêtant des liseuses ou des tablettes. Durant notre enquête 25 bibliothèques et médiathèques ont souhaité y figurer.

Nous espérons que cette carte permettra les échanges entre bibliothèques sur le sujet!

En voici la version image de janvier 2014 :

carte_adresses_biblios_dispos_quest300dpi

Vous trouverez également la carte dynamique en suivant le lien:

https://mapsengine.google.com/map/edit?mid=zfl7sZMW5McI.kOTZBdzBgL6I

Il va de soi que les bibliothèques souhaitant y figurer peuvent en faire la demande via l’adresse : dispomobiles [at] gmail.com

La carte a été établie au moyen de l’application maps.engine de Google, qui est pour l’instant encore en version bêta. Elle a pour intérêt de permettre l’intégration rapide de données depuis un fichier csv ou tout autre tableur.

Dans notre cas, les seules données des bibliothèques qui figurent sur la carte sont leur nom, adresse physique et site web.

Nous suivons donc l’évolution de cette application et ferons en sorte que ce projet se pérennise, avec cette application ou une autre…

Roxane Pagnamenta et Valérie Ottesen

« Ouvrir la boîte noire du laboratoire »

23 vendredi Août 2013

Posted by Stéphanie Pouchot in Généralités module, Outils

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blog

Rendre publics ses travaux, les faire connaître, échanger avec d’autres chercheurs (et donc construire et entretenir son réseau), vulgariser ses recherches, se positionner sur un champ d’étude, informer de son actualité scientifique, garder une trace de son activité… L’intérêt des blogs pour la recherche a déjà été largement exposé et débattu. La célèbre chaîne « Why blog » initiée en 2008 fournit une foule d’arguments qui devraient finir de convaincre les plus sceptiques que ce mode de publication a toute sa place dans le quotidien du chercheur.

Marin Dacos et Pierre Mounier, se référant à Latour, soulignent l’ampleur et l’importance du « peuple de documents » produit et/ou accumulé tout au long du processus de recherche(1). Ainsi, par exemple, grilles d’observation, photographies, compte-rendus de lecture, grilles d’entrevue et carnet de notes jouent-ils un rôle primordial dans la recherche. Ces documents sont le matériau permettant au chercheur d’alimenter son raisonnement, de construire sa analyse, in fine, de publier dans des canaux plus officiels (articles, ouvrages, posters…). C’est dans cet esprit que le blog peut être envisagé(2) : un carnet de recherche numérique permettant au chercheur de documenter et soutenir son activité scientifique.

Stéphanie Pouchot

Notes :

(1) « Les carnets de recherches en ligne, espace d’une conversation scientifique décentrée« , in Lieux de savoir, Tome 2, Gestes et supports du travail savant, Paris : Albin Michel, 2011.

(2) La plateforme multilingue Hypotheses.org donne un aperçu de la variété des formes que peuvent prendre les blogs de recherche.

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